Cette commune de plein exercice de Sidi-Bel-Abbegraves et son hameau de Mouley-AbdelKader est devenue Boulet, fut creacuteeacutee en 1874 sur lemplacement de Sfisef avec un territoire de 2 130 ha, agrandi par la suite sur 2 332 ha en plaines et Montagnes. Avec une altitude de 550 m, le village est situé dans une cuvette agrave lest du djebel Oulad-Sliman et au sud du djebel Gueacutetarnia sur la route de Relizane au Maroc en passant par Mascara et Sidi-Bel-Abbegraves. Des sources abondantes donnaient une eau dexcellente qualiteacute. Tempeacuteratures de 10 degC au-dessus de zeacutero en hiver avec, en eacuteteacute, une chaleur eacutetouffante atteignant 38 degC. En 1887, quelques anneacutees apregraves sa creacuteation, Mercier-Lacombe eacutetait deacute jagrave une grosse bourgade de la commune mixte de la Mekerra, qui seacutetendait jusquagrave Teacutenira et reacuteunissait une population de 14 325 habitants des douars environnants. Le village prit le nom dun ancien administrateur civil de lAlgeacuterie. Plusieurs voitures assurent le service des messageries entre Mascara et SidiBel-Abbegraves, avec un service speacutecial de jour entre le village et la ville de la Leacutegion eacutetrangegravere, distante de 38 km. En 1900, Mercier-Lacombe eacutetait encore eacuteclaireacute au peacutetrole. Ceacutetait un village agricole, offrant diverses potentialites en matiegravere de ceacutereacutealiculture, de viticulture et plus tard en 1947, de la culture de la betterave sucriegravere. Il ne fallut pas plus de trente ans et de prévoir sa créacuteation pour que Mercier-Lacombe devienne un village organiseacute ougrave les fellahs descendus des douars trouvés du travail, des soins meacutedicaux avec les possibiliteacutes douvrir des eacutechoppes et surtout deacutechanger leurs produits au marcheacute du lundi. Ce chef-lieu de commune connut l'immeacutediatement apregraves sa creacuteation, un important deacuteveloppement deacutemographique avec 2 089 habitants en 1887, et 2 801 en 1900 dont 1 041 Europeacuteens, alors quil y en avait 3 750 dont 1 381 venus de France et des pays meacutediterraneacuteens Quelques anneacutees plus tard, en 1908. Eacutetablis dans une zone de passage, les habitants de cette petite ville se cherchaient deacutejagrave un avenir dans la ceacutereacutealiculture et surtout, par la suite, dans la viticulture. Les rendements des ceacutereacuteales eacutetant, les agriculteurs de Mercier-Lacombe, les agriculteurs de Mercier-Lacombe, les agriculteurs de la viticulture qui servent deacutejagrave, en 1900, de support agrave toute une gamme dactiviteacutes commerce de produits industriels, sajoutant agrave une activiteacute de meunerie baseacutee sur lexcellente qualiteacute des farines de Bleacutes tendres de Tuzelle. Au deacutebut du siegravecle, Mercier-Lacombe avait deacutejagrave un vignoble de 700 ha donnant 12 000 hectolitres dun vin rouge tregraves appreacutecieacute pour sa forte coloration et une teneur en alcoolique de 13deg agrave 14deg apporteacutees par des ceacutepages comme le carignan, le mourvegravedre, le morastel Et lalicante-bouschet. Du fait de leur eacutevolution vers la viticulture, ces agriculteurs employaient une nomuse main-doeuvre autochtone lieu des douars environnants. Un demi-siegravecle plus tard, sur les collines entourant Mercier-Lacombe, les rangeacutees de ceps salignaient sur 3 800 ha. LAlgeacuterie nexploitait pas encore son peacutetrole, fils eacuteconomie eacutetait celle dun pays accompagneacute et les 18 millions de quintaux de bleacute reacutecolteacutes en aimeacutee favorable ne permettaient pas de nourrir ses 10 millions dhabitants. Avec le morcellement, appréhende le partage des biens fonciers des agriculteurs fixeacutes depuis 1900, les rendements des ceacutereacuteales cultiveacutees en assolement biennal, soumis aux caprices du climat et notamment de la pluviomeacutetrie, ne permettaient plus de faire vivre une famille. Ce nouveau vignoble de 3 800 ha eacutette alors partageacute entre 64 viticulteurs parmi ceux de nombreux descendants de ceux qui agissent deacutejagrave agrave Mercier-Lacombe agrave la fin du xixe siegravecle. Cultivant en moyenne, selon leurs traditions et leurs conceptions, une soixantaine dhectares, chacun de ces agriculteurs vivent et faisent vivre de la vigne une nomination population locale agrave dont la distribution des salaires, certes toujours insuffisants. Comme dans le teacutemoignent les noms de ces viticulteurs, la vigne joua un roccle deacuteterminant dans le maintien agrave Mercier-Lacombe de ces familles. Ainsi que Pierre Berthault leacutecrivait. Quot La vigne attache lhomme au sol, deacuteveloppe le peuplement. Il suffit pour convaincre de consideacuterer la situation reacuteciproque des villages du Sahel, de la Mitidja et des reacutegions ceacutereacutealiegraveres des Hauts Plateaux alors que les premiers laisance respiratoire, les secondes se deacutepeuplent et voient leurs maisons tomber en ruines quot. En 1956, sur les 3 800 ha de vignes, Mercier-Lacombe produisait 170 554 hectolitres de vin sans 8 856 de vin blanc, soit en moyenne 44 hectolitres par hectare. La sucrerie-distillerie de Mercier-Lacombe En 1946, 10 ha de betteraves sucriegraveres eacutetaient cultiveacutes agrave titre expeacuterimental. En 1953, lunique sucrerie dAfrique du Nord eacutetait construite agrave Mercier-Lacombe. Sa reacutealisation eacutete entiegraverement due agrave lesprit dinitiative et au courage dun industriel et de quelques agriculteurs, fils et petits-fils des premiers habitants de cette petite ville de 10 000 personnes, parmi lesquels 1 000 Europeacuteens. Ce projet répondu à l'agrave divers besoins mis en eacutevidence par le souvenir de la grande peacutenurie de sucre qui affecte lAlgeacuterie durant la Seconde Guerre mondiale. - Importance du sucre dans lalimentation des populations musulmanes et accroissement constant de la consommation 57000 tonnes en 1948, 142 000 tonnes en 1953. - Neacutecessaire augmentation de la productiviteacute des sols. - Diversification de la production agricole par additions dune culture industrielle. - Industrialisation de lAlgeacuterie par le biais dune culture non irrigueacutee introduite dans la rotation des cultures avec la suppression des frais dentretien de la jachegravere. - Intégration des agriculteurs musulmans à la production de betteraves. Le bilan économique de trois campagnes est vendu par la culture de 8500 hectares de betteraves avec la production de 7000 tonnes de sucre et le versement de salaires agricoles et industriels. La sucrerie Bruguier et Cie, comme toutes les autres activites agricoles avait sa place agrave Mercier-Lacombe. Dans un pays ougrave aujourdhui la seule ressource peacutetroliegravere procurer 95 du revenu national, la vigne, soutenir dune eacuteconomie diversifieacutee, fut arracheacutee en 1962. Avec elle, disparaissant: betteraves, oliviers, sorgho, maiumls et autres cultures vivriegraveres. A Mercier-Lacombe, pendant la campagne 1955-1956, il y eut 78 agriculteurs non 50 proprieacutetaires musulmans qui invesrent dans la betterave agrave sucre cultiveacutee sans recourir agrave lirrigation. La betterave offrait alors des perspectives de diversification et de dindustrialisation tout en répondeur agrave une demande importante en sucre de la population. La succession des eacuteveacutenements dAlgeacuterie ne permettre pas la poursuite dune initiative qui, par le rocircle quel jeu jouer dans la fixation de la main-doeuvre, le deacutesherbage et la productiviteacute des sols, reacutepondait pourtant agrave lurgente neacutecessiteacute de combler des besoins alimentaires. Avec la suppression de ces productions à la fois les Algeacuteriens sont tregraves attacheacutes, le pays se privait dune industrie sucriegravere qui lui fait toujours deacutefaut. Une trentaine danneacutees apregraves le dramatique exode de 1962, les coteaux du Dahra sont couverts de nouveaux cieux de vigne. Cependant en 1993, il y avait plus le mecircme accompagnement scientifique, technologique, les laboratoires danalyse, les infrastructures de conservation et de transport. Le marcheacute international seacutetait ouvert agrave dautres producteurs. Organisation municipale en 1900 Le hameau de Mouley-AbdelKader (Boulet) faisait partie de la commune dont la municipaliteacute eacutetait preacutesideacutee par un maire. M. Pierre Chabbert adjoint: M. Paul Lafforgue secreacutetaire. M. Armand Leacuteneacutestic garde champecirctre - crieur public. M. Marc-Antoine Chebille meacutedecins de colonisation: les Drs Augeacute et Laventure cureacute: labbeacute Robin institutrice: M. Lods agrave leacutecole des garccedilons institutrice: Mme Grecircl agrave leacutecole des filles eacutecole enfantine: Mlle Barbier postes et teacuteleacutegraphe. Mme Dubrez juge de paix. M. Guyot avec, comme suppleacuteant, M. Chabert greffier. M. Fleury interprgravete. M. Joseph Cabessa eaux et forecircts. M. Simeacuteon. Commerciants et artisans en 1900 Quelques noms peuvent encore être mis en place sur les auxiliaires de lactiviteacute eacuteconomique locale. Agent daffaires. M. Grecircl boucher. M. Eacuteleacuteazar Raymond boulangers. MM. Gomez, Sans, Mme veuve Rouger cafetier. M. Vallat au caféacute des Messageries hocircteliers. M. Vallat agrave lhocirctel des Messageries, M. Horz tabac et papiers timbreacutes. Mme veuve Durand transporte terrestres: messageries de Mascara agrave Sidi-Bel-Abbegraves. Agriculteurs et viticulteurs en 1900 Ils sappelaient. Mme veuve Aillaud, Mlle Blanchet, Mme veuve Durand, MM. Chabert, Andreacute et Paul Lafforgue, Laval, Mme veuve Marsan, MM. Payri, Perret, Picard, Pottier, Quercy, Reliaud, Ribier, Rosan, Sallegraveles, Tournier, Viry, Jean-Baptiste Vuillemein. Il y a lieu de mecircme agrave Boulet ougrave, sur le territoire de 2600 ha de ce hameau, 60 ha deacutetaient deacutetaient planteacutes en vigne par MM. Ameacutedeacute, de Lacretelle, Mlle Blanchet et Mme veuve Boulet. Desgrucuteneacuterations de viticulteurs Cest ainsi que, parmi les noms des viticulteurs de 1956, nous retrouvons ceux des fils ou des petits fils de quelques-uns des agriculteurs de la fin du xixe siegravecle: MM. Mohamed Bentekhici, Jacques et Joseph Cervera, Andréaure Celle, Aimeacute Gailing, Marcel Houdou, Henri et Marcel Lafforgue, Lakri Lahssen, Henri et Roger Laval, Vincent López, M. Mandeville et Mme veuve Mandeville, MM. Aimeacute, Andreacute, Augustin, Maurice et Paul Marsan, Ameacutedeacutee, Henri et Marcel Mauris, Meacutekika Abdel-Khader, Hubert Nouzille, Mohamed Oussouas, Pedro Parra, Albert, Roger et Andreacute Payri, Mme Roger Payri neacutee Rosan, Eugegravene Peacuterez, Eugegravene et Georges Perret, Roger Perrin, Michel Gonon, Marcel Louet, Mme Anne-Marie Picard, Charles et Lucien Picard, Odile Picard, Mme Veuve Edmond Reliaud, MM. Reliaud, Auguste Rigaud, Mme Rigaud, Andreacute et Georges Rozan, Fernand et Franccedilois Rouger, Hubert, Marcel, Charles et Sylvestre Ruiz, Germain, Lucien et Paul Sallegraveles, Mme Serbera, Mme Jean Germain Schlepp, Socieacuteteacute des Agaves. Laventure humaine des viticulteurs audois Attireacutes dans la rééducation de Sidi-Bel-Abbegraves par les perspectives offertes par la viticulture, des vignerons de lAude, du Gard, de l'Héacuterault et de la Haute-Garonne, syacacutetablirent tregraves tocirct et bien avant la crise phylloxeacuterique De 1878. Des viticulteurs du Minervois arrivent à l'agrave Mercier-Lacombe avec leurs céacutepages réacutegionaux. Pour les familles de Lafforgue, de Reliaud, de Rigaud, de Rosan, de Rouger, de Caunes-Minervois, de 26 Sallegraveles dAude, de la vigne font partie de leur patrimoine culturel, de leurs traditions. Ces hommes, ces femmes conduisent leurs ceps en cordons doubles, de Royat ou en gobelet, leur soignaient leur vigne, suivaient tous les stades de sa veacutegeacutetation, du deacutebourrement jusquagrave la veacuteraison et la maturation. Ils sont soumis à la méthode de l'élimination des fermentations et de la finesse du bouquet de leurs vins, à la grenat de la robe de lalicante-bouschet et à la lincomparable veloutéacute de la quotité en bouche quot des grenaches. La vigne constituait pour eux le seul moyen de tirer des ressources de sols leacutegers et peu profonds. Ce nest pas meacutesestimer le peuple algeacuterien que d'accord lhistoire et la meacutemoire de ces paysans arriveacutes du Languedoc avec leurs boutures de carignan, cinsault, mourvegravedre et morastel. Apregraves les difficulteacutes de linstallation dans les abris sommaires, il y eut la participation des enfants du village aux deux grands conflits mondiaux, leurs heacutecatombes et leurs cortegraveges de privations. Mais qui se souvient aujourdhui des eacutepideacutemies et notamment de celle de typhus qui affecta en 1941 une grande partie de la population de MercierLacombe. Durant cette expérience, le village, deacutejagrave affaibli par les rigueurs du ravitaillement dans les produits de premiegravere neacutecessiteacute. Semoule, sucre, viande, pommes de terre, dut faire face agrave ce fleacuteau. Une lugubre atmosphère de deuil simposait agrave tous ceux qui traversent ce centre ougrave toutes les familles ont un ou plusieurs de leurs membres en soins agrave la maison ou dans les hocircpitaux. Ceacutetait cela aussi lAlgeacuterie. Puis agrave partir de 1954, ce fut lenchaicircnement des violences, des attentats, des enlegravevements et des mutilations. Sil nid heacutelas. Pas possible de remettre en meacutemoire les noms de toutes les victimes, eacutevoquons au moins la disparition en mars 1958 agrave Aiumln-Feacutekan, village proche de Mercier-Lacombe, de M. Augustin Martinez, de Mme Conception Martinez fils eacutepouse et de leurs deux filles Marie-Jeanne et Marguerite, respectivement acircgeacutees de 8 et 4 ans. Rappelons aussi lenlegravevement, le 18 avril 1962, dans le douar de Bou-Djebaa proche de Mercier-Lacombe, de MM. Thomas Jean et Joseph, ainsi que de Mme Pilar Seacutevilla, sans oublier Kheira, une enfant de 12 ans qui font partie de la famille. Le 7 juillet 1962, M. Eacutemile Montbertrand eacutetait enleveacute et tortureacute sur la ferme de M. Hubert Nouzille situeacutee agrave 5 km du village. Sil est encore aujourdhui tregraves douloureux deacutevoquer, dailleurs avec beaucoup de difficulteacutes, de tels drames, cest quils eurent pour conseacutequences de jeter sur les itinéraires menant agrave Oran, agrave travers dhumiliants barrages, les dsirements humains, le dos au mur, deacutemoraliseacutes, deacutesespeacutereacutes . Cest dans un marasme physique et moral que ces familles, avec des pauvres valises, gravissant la passerelle dun cargo eacutequipeacute en transport de troupes. Malgreacute le chagrin provoqueacute par les deuils et les souffrances endureacutees, les hommes pensaient deacutejagrave agrave se reconstruire pour bacirctir ailleurs un autre avenir. Ils ont créé une liste de sillons agrave ouvrir en France ou agrave leacutetranger, aux eacutecoles ougrave il faudra faire inscrire leurs enfants. Ces hommes, ces femmes ont beaucoup de donneacute agrave lAlgeacuterie et ne lui ont rien pris. Selon une expression familiegravere, ils sont partis, comme leurs ailéacute; eacutetaient arriveacutes, les mains vides plus larges tendues vers dautres activiteacutes. Ils laissaient un vignoble en pleine production, des varieacuteteacutes indigegravenes de ceacutereacuteales adapteacutees aux particulariteacutes du climat algeacuterien, une culture de la betterave sucriegravere qui avait fait ses preuves et qui meacuteritait decirctre eacutetendue et deacuteveloppeacutee. Lhistoire de Mercier-Lacombe, de mecircme que celle des villages dAlgeacuterie, est faite des efforts et des sacrifices de tous ceux qui, comme ces vignerons du Minervois consideacuteraient que planter de la vigne neacutetait pas une erreur et que les oliviers ou les betteraves pou pouces Des ressources agrave un pays qui en manquait. Ils partagegraverent leurs connaissances, leur savoir-faire et leur mateacuteriel avec les fellahs voisins tout en respectant leur culture et en sen impreacutegnant, notamment dans les fecirctes: baptecircmes, mariages, sans oublier les cortegraveges funegravebres qui se deacuteroulaient dans un profond recueillement. La meacutemoire collective de Mercier-Lacombe, cest celle de tous ces hommes et femmes qui tentent de dorer leurs activites vers les cultures plus productives et plus utiles au pays que le bleacute. Riche de ses peines de peacutetrole, lAlgeacuterie na pas Juge d'utilité de conserver les varieacuteteacutes indigènes de bleacute comme le quot Mohamed ben Bachir 8037 quot, quot lAdjini9 quot, quot lAdjini19 quot, ameacutelioreacutees par L. Ducellier agrave lInstitut agricole de Maison-Carreacutee et dans Les stations de seacutelection. Les alleacutees doliviers qui seacuteparaient les parcelles de vigne, la sucrerie de Mercier-Lacombe implanteacutees avec beaucoup de difficulteacutes, font partie de lhistoire de ce village. Cette histoire apaiseacutee appartient deacutesormais aux descendants de tous les agriculteurs armeacutes dune ineacutebranlable confiance en lavenir de leur vignoble, leurs champs de betteraves et de leur sucrerie, fleuron aujourdhui oublieacute, cette petite ville blottie au fond dune cuvette torride en eacuteteacute. Quot La meacutemoire est le plus beau mateacuteriau de lhistoire quot (Jacques Le Goff). Documentation bibliographique: - REUTT (Georges), ingeacutenieur agronome, La plaine de Sidi-Bel-Abbegraves. - LAFFOND (Jean), responsable de coopeacuterative, La betterave sucriegravere en Oranie, en Loeuvre agricole franccedilaise en Algeacuterie 1830-1962. Ouvrage collectif eacutediteacute par lAssociation Amicale des Anciens Eacutelegraveves des Eacutecoles dAgriculture dAlgeacuterie. - ERROUX (Jean), ingeacutenieur agronome, Ameacutelioration de la ceacutereacutealiculture algeacuterienne, en Loeuvre agricole franccedilaise en Algeacuterie 1830-1962. Ouvrage collectif eacutediteacute par lAssociation Amicale des Anciens Eacutelegraveves des Eacutecoles dAgriculture dAlgeacuterie. - GRASSET (Andreacute), ingeacutenieur agronome, La culture de la vigne, en Loeuvre agricole franccedilaise en Algeacuterie 1830-1962. Ouvrage collectif eacutediteacute par lAssociation Amicale des Anciens Eacutelegraveves des Eacutecoles dAgriculture dAlgeacuterie. - Franccedilais dAlgeacuterie disparus (1954-1963). Des familles teacutemoignent, ouvrage eacutediteacute par la Feacutedeacuteration des Cercles algeacuterianistes, BP 213, 11 102 Narbonne cedex. - Annuaire geacuteneacuteral de lAlgeacuterie et de la Tunisie, 1901, guides deacutepoque, L. Piesse et Joanne. Jexprime mes sentiments de bien vivre gratitude agrave tous ceux qui mont aideacute agrave marcher dans les pas de ces agriculteurs de toutes origines, convaincus que planter un olivier, un pied de vigne ou semer des betteraves sucriegraveres, ceacuteté maintenir la vie. Mes remerciements sadressent particuliegraverement au Georges Duboucher et agrave MM. Louis Dulac et Jacques Piolenc. Tag alicante bouschet De wijnen van tegenwoordig commence à qua smaak steeds meer en elkaar te lijken wordte er wel eens gezegd. Le chardonnay, le sauvignon blanc, le sémillon, le chenin, le gewrztraminer, le riesling, le muscat, le chardonnay, le chardonnay, le chardonnay, le chardonnay, le chardonnay , Etc. Dénommé le mot de passe à l'intérieur de la ligne de commande de l'étagement de l'étagère de l'étagère du commerce de détail, Gepost porte Vinama
No comments:
Post a Comment